Film
Te Vaanui
Film diffusé sur France O TV
le 16 décembre 21h45
Un documentaire connecté et poétique
Ce film auquel j’ai participé prône les valeurs qui me sont chères.
L’authenticité, le partage, la simplicité vraie, l’acceptation de l’autre et la préservation des merveilles que nous offre notre belle Planète TERRE parmi toutes les richesses la peuplant.
L’interconnexion étroite entre les différents règnes vivants, prendre soin de tous, devient une nécessité absolue pour préserver la vie sur notre si belle planète.
Pour moi l’Humain est un pont entre toutes les espèces vivantes. Il est fait de chacune d’elle, en à besoin pour vivre, et se doit de les protéger.
Quand le coeur s’ouvre à notre belle réalité, alors les yeux voient.
Merci Jean-Charles et à toute l’équipe pour ses moments de partages merveilleux. Quelle joie d’avoir travaillé avec toi, vous.
ismaël, joie de te guider et de parler aux animaux avec toi. Et merci pour ce que tu fais, es.
Namasté 🙏
Plongez au coeur de la spiritualité polynésienne et découvrez le lien profond de ce peuple avec l'océan Pacifique.
Synopsis du film
Pour répondre à un rêve dans lequel l’océan lui lançait un appel, un Polynésien doté d’une détermination sans bornes a osé franchir les portes du grand large à la nage. Si son arrière-grand-père Tioki chevauchait déjà les baleines, Ismaël nage aujourd’hui pour réhabiliter la sagesse polynésienne et les valeurs environnementales chères à ses ancêtres.
Marquisien d'origine, Ismaël est à l’aube de son plus grand défi. Après vingt ans passés en métropole, loin de son archipel de naissance, il se prépare à rejoindre le Henua Enana, la « Terre des hommes », l'un des archipels de Polynésie française connu de nos jours sous le nom d'îles Marquises. Son voyage entre cinq des îles habitées des marquises sera ponctué de période de nages spirituelles et méditatives. Il s’agit pour le Marquisien d’un acte de foi. Une réponse à l’appel de l’océan. Lors de ses escales à terre, il ira à la rencontre de personnalités impliquées dans la culture de sa communauté. Pour régler sa dette à l’océan et témoigner du réveil culturel marquisien.
